Cette fois-ci ça déconne plus, BOUM :
Nous n’aurions jamais pensé qu’un chariot élévateur puisse nous mettre dans un tel état mais après avoir tâté du transpalette et de ses limites (la prise de virages en épingles en s’en servant de trottinette par exemple) ; il est JOUISSIF de déplacer des palettes de bouteilles, de malt ou autres billevesées brassicoles.
C’est simple, on est frustré de pas avoir plus de trucs lourds à transporter ! (il va nous falloir quelques semaines d’adaptation…). Illustration avec le sourire béat du brasseur en train de faire prendre l’air à une palette de bouteilles:
Avec ses 4 tonnes à la balance et sa motorisation diesel, la bête serait capable de soulever l’entrepôt si on la laissait faire (enfin nous on en est persuadé). Il y a même le gyrophare orange et le “tuuuut tuuuut” pour prévenir les chats du coin quand on passe la marche arrière.
Qu’on se le dise, la Brasserie Burdigala prend du muscle ! 😀
3 Responses
excellent !
Génial ce post 😉 oublie pas ton casque pour les virages très très serrés :-p
Ahah, t’inquiètes, le bestiaux fait quand même 4 tonnes donc les épingles ce sera en slow motion !!! lol